mercredi 18 septembre 2013

[TEST] Rayman Legends sur Wii U, la Wii Ubisoft

Rayman Legends a su se faire attendre, à l'origine prévu en exclusivité sur Wii U, il débarque finalement sur PS3, 360, PC et même PSVita.

Cependant, ils ont su utiliser à la perfection la console de Nintendo et surtout mettre intelligemment à profit son GamePad. Ils dépassent même la firme du plombier moustachu sur son propre territoire, qui n'a su proposer pour le moment que New Super Mario Bros. n'apportant aucune nouveauté, ni innovation tandis que Rayman Legends apporte un vent de fraîcheur et un gameplay maîtrisé.

Visuellement, c'est propre, pas d'aliasing, pas de ralentissement, les décors sont sublimes grâce au moteur UbiArt Framework déjà utilisé dans le précédent Origins.

Les couleurs chatoyantes sont un régal pour les yeux, les animations sont drôles et réussies. Les musiques sont également très recherchées et rythment parfaitement les différents niveaux.
Sans parler des tableaux musicaux qui frisent le génie, un level design ingénieux et amusant.
Un sans faute donc pour ces nouvelles aventures de notre héros sans bras ni jambes qui redéfinit le genre des jeux de plateformes.

Si nous arrivons assez rapidement au bout des tableaux proposés (5-6 heures) de nombreux défis se proposent encore à nous. Pour débloquer le tout dernier niveau, il faut délivrer 400 petizêtres qui nous obligent à retourner dans les niveaux déjà terminés afin de tous les trouver, ou de replonger dans ceux du précédent épisode disponibles grâce aux billets à gratter que nous obtenons en ramassant suffisamment de lums (petits êtres lumineux). En plus de la possibilité de jouer à plusieurs (jusqu'à 5 en même temps) dans tout le jeu, un mode "soccer" est également disponibles pour des parties endiablés entre amis. Des défis sont également proposés fréquemment renouvelant l'expérience grâce à des tableaux générés aléatoirement pour défier ses amis ou n'importe qui à travers le monde.

C'est LE jeu à posséder sur Wii U, ou sur Vita (ou les deux) en priorité, et sinon sur la console de votre choix (les niveaux tactiles de Murphy sont remplacés par le stick droit de la manette).

samedi 4 mai 2013

[Reportage] Une histoire de jeux vidéo : exposition jeux vidéo MO5 à Québec

exposition-une-histoire-de-jeux-video-mo5-quebec-ubisoft-musee-civilisation-2013-04-0225Le musée de la civilisation de la ville de Québec accueille l'exposition française "Une histoire de jeux vidéo".
 
Déjà présentée au Grand Palais à Paris, la grande collection consacrée au domaine vidéoludique de MO5 a fait des envieux à travers le monde. C'est donc tout naturellement que la ville de Québec a invité ses responsables à présenter tout cet univers riche en histoire dans son musée local. Philippe Dubois aidé de ses associés a donc fait le déplacement et a apporté avec lui bornes d'arcade, consoles de jeux vidéo retro et actuelles, et bien d'autres surprises...

Grâce à lui et à de nombreux partenaires dont principalement Ubisoft Québec, ou Beenox, les habitants et les touristes de la nouvelle terre d'accueil du jeu vidéo peuvent découvrir et redécouvrir les vestiges de cette civilisation et revivre l'évolution de sa naissance à aujourd'hui. Tout y est, nous passons des premiers jeux Pongs, aux bornes arcade, aux premières consoles grand public comme l'Atari 2600, la Colecovision, et bien évidemment la NES, Super Nintendo et autres consœurs. De belles pièces de collection sont présentées aussi bien derrière des vitres que branchées à des écrans où le spectateur peut revivre les belles époques manette en main.

Ainsi nous avons pu jouer à Metal Gear 2 sur la MSX de Sony, à Metal Slug ou King of Fighters sur Neo GeoRayman sur la Jaguar ou encore à la PC-Engine. Si nous sommes en Amérique où les consoles ont toujours tournées à 60 Hz, la collection est en majorité française. Certains design étonnent donc les nords-américains, et ils peuvent enfin comprendre la souffrance qu'ont ressenti les joueurs européens avec la lenteur des jeux de combat pour ne citer que Tekken 3 sur PlayStation... Du côté arcades, Mrs. Pac-Man est présente, une borne Out-Run avec le premier retour de force, une du plus célèbre jeu de danse, Dance Dance Revolution et des plus anciennes comme Space Invaders. Mais il n'y a pas que des jeux, il y a aussi tout ce qui y touche de près et de loin, nous retrouvons des affiches de films, des vieux magazines avec les premières publicités Micromania, une multitude de jouets d'époque...

Les parents peuvent donc retomber en enfance, tandis que les nouveaux joueurs peuvent s'instruire et découvrir à quoi ressembler les premiers titres pixelisés. Tout le monde y trouve son compte à l'intérieur de six grandes zones retraçant toutes les époques :
  • Introduction : Les prémices, 1950-1971
  • 1972-1977, Pong et ses dérivés
  • 1977-1983, les premiers jeux en couleur
  • 1989-1994, l'art du pixel (pixel art)
  • 1994-1999, l'arrivée de « la 3D »
  • 2000-2005, l'image s’affine
  • 2006-2013 : jeux « HD » et rétros.
Il y a même une septième zone dans laquelle nous pouvons converser avec des professionnels du domaine situés à Québec (Beenox, Sarbakan, Frima et Ubisoft) durant certaines rencontres programmées.
Si vous habitez ou que vous passez des vacances dans la région ou province de Québec, nous ne pouvons que vous conseiller de vous rendre à cette exposition qui sera présente au Musée de la Civilisation de Québec jusqu'au 16 mars 2014.

Merci à Laurence Marchetti pour les photos.

lundi 4 février 2013

[Achat] The Legend of Zelda: Hyrule Hystoria en photos et annonce pour la France !

L'encyclopédie de la plus grande saga de jeux vidéo vient de sortir en Amérique du Nord, nous vous en proposons quelques photos, ainsi qu'une bonne nouvelle pour le public français.

Le 21 février 1986, soit il y a bientôt 27 ans, le tout premier épisode de la série The Legend of Zelda est sorti sur Famicom (NES) au Japon. Depuis, notre héros tout de vert vêtu et sa princesse n'ont cessé de nous transporter dans de magnifiques aventures à travers les âges et les consoles. Un guide complet officiel lui rend donc hommage en retraçant pas à pas toutes les péripéties du jeune Link et de sa Zelda.

Dans cette magnifique édition de ce recueil "Hyrule Historia", nous faisons le tour complet du dernier volet sorti sur Wii, The Legend of Zelda: Skyward Sword, puis toute l'histoire de la franchise est passée au peigne fin, et l'ouvrage conclut sur une bande dessinée exclusive. Et surtout le point que tous les fans attendaient sur lequel ils se déchiraient depuis des années, la chronologie officielle de tous les Zelda. Quel est celui qui fait office de genèse ? En combien de timeline la saga se divise-t-elle ? Vous retrouverez toutes les réponses et les explications à l'intérieur de ces pages.

Si l'édition nord-américaine ne comporte que l'anglais, que ceux qui ne comprennent que la langue de Molière se rassurent, puisque l'éditeur Soleil à qui nous devons beaucoup de mangas en France (dont ceux de Zelda, Valkyria Chronicles, Castlevania, Suikoden et d'autres) vient d'annoncer au festival de la bande dessinée qui s'est déroulé ce week-end à Angoulême qu'il éditerait ce livre en français ! Il devrait même être disponible dès cet été.
 
En attendant, nous vous en proposons un aperçu de l'édition américaine que nous venons de recevoir. Alors aviez-vous juste sur l'ordre des titres ? Allez-vous vous ruer sur cette magnifique œuvre ? En tout cas, moi je ne le regrette pas, la qualité est exceptionnelle, y a de jolis reflets dorés sur la couverture, et il est vraiment complet, un must have pour tous les fans de Zelda ! 








 


samedi 2 février 2013

Ni No Kuni : mon avis presque complet

Enfin le jeu débarque en Occident sur PlayStation 3. Cette collaboration entre le studio Ghibli et Level-5 nous replonge dans le savoir faire des jeux de rôle à la japonaise.

Nous avons droit à un véritable staff de rêve pour tout amateur de japanimation, d'un côté le studio de développement derrière les Professeur Layton, Dark Cloud et quelques Dragon Quest et de l'autre le plus grand studio d'animation japonais à qui nous devons Princesse Mononoké, Mon Voisin Totoro, Porco Rosso, etc. Ajoutons à cela le compositeur de génie Joe Hisaishi qui en plus de travailler avec Ghibli, œuvre aussi pour un certain Takeshi Kitano, célèbre réalisateur japonais (L'été de Kikujiro, Battle Royal...).

À la base, Ni no Kuni est sorti sur Nintendo DS baptisé Ni no Kuni: Shikkoku no Madōshi (二ノ国 漆黒の魔導士, "Ni no Kuni The Jet-Black Mage"), le 9 décembre 2010 exclusivement au Japon et il incluait le grimoire avec le jeu. Après cela, un épisode a vu le jour sur PlayStation 3, Ni no Kuni : la Vengeance de la Sorcière Céleste (二ノ国 白き聖灰の女王 Ni no Kuni: Shiroki Seihai no Joō) le 17 novembre 2011. Il reprend le fil conducteur de l'histoire et les principes de base du gameplay, sans la possibilité de dessiner le sort, action qui était faite directement sur l'écran tactile de la portable. Nous voilà donc presqu'un an et demi après, et nous pouvons enfin en profiter dans une langue plus compréhensible pour nous Occidentaux.

Après avoir choisi la langue des sous-titres (anglais, français, allemand, italien), et le doublage (anglais et japonais), nous pouvons nous lancer dans l'aventure.

vendredi 1 février 2013

[Déballage] Ni no Kuni Wizard's Edition le collector américain en photos


Ni no Kuni : la Vengeance de la Sorcière Céleste vient de sortir enfin en Occident, pour récompenser notre patience Namco Bandai propose une édition collector digne de ce nom.

Après plusieurs problèmes d'envois en Amérique dus au fournisseur Digital River, les Étasuniens et Canadiens ont finalement reçu leur précieux. Pour les malchanceux, ils ont tout de même reçu un coupon de 20 $ sur la boutique officielle Namco ainsi que le guide officiel en compensation.

L'attente valait-elle la peine ? Voici le contenu complet de cette édition :
  • Une copie du jeu comprenant un artwork couleur au verso de la jaquette ;
  • Une pièce dorée ;
  • 5 cartes ornées de magnifiques artworks ;
  • La peluche de Drippy ;
  • Le grimoire du sorcier ;
  • Un code pour télécharger deux familiers (Golden Mite et Goldon Drongo) ;
  • Un CD avec deux morceaux (Ni no Kuni Main Theme, Kokoro no Kakera).
Si la version européenne se retrouve amputée de la pièce, du CD et des cartes, elle comprend quand même le plus intéressant, c'est-à-dire, le livre magnifique et imposant avec un revêtement en relief, 340 pages d'un papier de qualité, et la peluche de Lumi (nom français) très bien faite. De plus, aucun problème de commande, puisqu'elle peut se trouver dans plusieurs enseignes telles qu'Amazon, la FNAC ou encore Micromania.
La version américaine de Ni no Kuni : la Vengeance de la Sorcière Céleste Wizard's Edition était proposée à 99,99 $ (auxquels il faut ajouter 11 $ de frais d'envoi) uniquement sur la boutique en ligne de Namco Bandai, qui s'est retrouvée en rupture de stock très rapidement, tandis que l'européenne peut encore se trouver à 89,99 €.














 Si le célèbre revendeur américain EBGames / GameStop ne proposait pas cette édition, il offrait tout de même un cadeau aux fans, un boîtier steelbook aux couleurs de Ni no Kuni : la Vengeance de la Sorcière Céleste que nous vous proposons en photos grâce à Gally_shama.